J'en ri encore...
Publié le 18 Septembre 2009
Vous êtes-vous déjà senti coupable de regarder les gens de votre âge et
de penser 'Je ne peux pas paraître aussi vieux !' Alors, vous allez apprécier celle-ci :
J'étais assise dans la salle d'attente pour mon premier rendez-vous avec un nouveau dentiste quand j'ai
remarqué que son diplôme était accroché sur le mur. Il y était inscrit son nom et je me suis soudain remémoré un grand brun portant ce nom. Il était dans ma classe de lycée quelque 40 ans
auparavant et je me demandais si cela pouvait être le même garçon pour qui j'avais craqué à l'époque ??
Quand je suis entrée dans la salle de soins, j'ai immédiatement écarté cette pensée de mon esprit. Cet homme grisonnant, dégarni et le visage marqué de
profondes rides était bien trop vieux pour avoir été mon amour secret ... Quoique... Après qu'il eut examiné ma dent, je lui ai demandé s'il était allé au lycée Henry IV.
'Oui', m'a-t-il répondu.
'Quand avez-vous eu votre bac ?', ai-je demandé.
'1959. Pourquoi cette question ?'
'Eh bien, vous étiez dans ma classe', me suis-je exclamée !
Et alors cet affreux vieux petit crétin m'a demandé : 'Vous étiez prof de quoi
?'
La scène se passe dans la maison de retraite "Les cheveux blancs".
Fernand, 91 ans, voit avec bonheur arriver une nouvelle, Félicité, jeunette de 85 ans. Rapidement, comme deux aimants, leur attirance mutuelle les fait s'asseoir côte à côte au
réfectoire, devant la TV, pendant les jeux, et Fernand tient Félicité par les épaules au cours des farandoles.
Arrive ce qui devait
arriver : les deux amoureux, un beau soir, partagent le même lit, chambre 320.
Je vous laisse imaginer cette première nuit
d'amour.
Le lendemain matin, Fernand, au réveil :
« Félicité, ma chère, je vous dois des excuses. Si j'avais su que vous étiez toujours vierge, j'y serais allé plus doucement.»
- Mais non, mon bon Fernand, c'est moi qui vous présente mes excuses. Si j'avais su que vous bandiez encore, j'aurais retiré mes collants.