Petit sourire sur ces histoires.
C'est un type qui est accoudé au comptoir dans un bar.
Décide de rentrer chez lui car il est trop bourré.
Il s'éloigne du comptoir, fait 2 mètres et s'écroule par terre.
(Je suis trop bourré. Je vais ramper jusqu'à l'extérieur )
Arrivé dehors notre homme se dit que l'air frais va lui faire du bien
et il décide de se remettre debout.
Mais au bout de 2 mètres, vlan ! Il s'écroule encore.
(J'habite à 800 mètres. Je vais ramper jusqu'à la maison )
Arrivé devant chez lui, il se dit qu'il a du décuiter et essaie de se remettre debout.
Mais encore une fois au bout de 2 mètres, vlan ! par terre.
(Bon.. Je vais ramper jusqu'à la chambre ).
Alors il ouvre sa porte d'entrée en rampant,
monte les escaliers en rampant,
ouvre en rampant la porte de la chambre ou dort sa femme
et se déshabille par terre.
Mais avant de se mettre au lit, il se dit qu'il doit pouvoir enfin se lever.
Il se lève, fait 2 mètres et s'écroule encore une fois mais sur le lit.
Là, il s'endort en se disant que sa femme n'a rien entendu.
Il est sauvé!!!!
Le lendemain matin, sa femme le secout comme un prunier.
(Toi, t'as encore picolé hier soir !!!)
"Hein ? mais non !? Pourquoi ? "
(Le bar a appelé : et tu as encore oublié ton fauteuil roulant).
Jacob qui habite Tel Aviv téléphone à son fils Samuel émigré à New York :
"Je regrette de gâcher ta journée mon fils, mais je dois t'informer que ta mère et moi sommes en train de
divorcer.
Quarante cinq ans de souffrance, ça suffit."
"Papa, comment peux-tu dire ça ?
Et juste avant les fêtes en plus !", lui hurle le fils.
"Nous ne pouvons plus nous voir" répond le père,
"nous sommes fatigués l'un de l'autre
et j'en ai ras le bol de notre histoire.
Donc, tu me rendras service en prévenant ta sœur Anna à Chicago."
Et le père raccroche.
Le fils appelle sa sœur, il est désespéré, elle est outrée :
"Comment ? Ils vont divorcer ? À leur âge ? Je m'en charge."
Aussitôt, la fille téléphone à son père :
"Vous n'allez pas divorcer, tu m'entends.
Ne faites rien jusqu'à ce que nous venions chez vous mon frère et moi.
Tu m'as bien entendu, ne faites rien… tu nous attends !"
Le père raccroche, se retourne vers sa femme et lui dit :
"Rebecca, c'est OK, nos enfants viennent passer les fêtes avec nous
et ils payent leur billet d'avion !"